Hyperaldostéronisme : une endocrinopathie sous-diagnostiquée ?
- Être capable de suspecter un hyperaldostéronisme primaire face à une hypokaliémie chez le chat
- Être capable de conduire une démarche diagnostique de confirmation en cas de suspicion d’hyperaldostéronisme
- Être capable de proposer une prise en charge de stabilisation
- Connaitre le pronostic à la suite d’une prise en charge médicale et chirurgicale
Le DV Morgane Canonne est enseignante chercheuse et clinicienne à l’Ecole de Maison Alfort depuis octobre 2016.
Après un CEAV de Médecine et à l’issue d’une résidence en Médecine interne à la Faculté de Liège en Belgique, elle obtient le diplôme européen en 2017.
Ses principaux intérêts en recherche concernent les affections respiratoires des carnivores domestiques mais aussi l’endocrinologie, les affections dysimmunitaires et plus généralement la médecine féline.
Après un CEAV de Médecine et à l’issue d’une résidence en Médecine interne à la Faculté de Liège en Belgique, elle obtient le diplôme européen en 2017.
Ses principaux intérêts en recherche concernent les affections respiratoires des carnivores domestiques mais aussi l’endocrinologie, les affections dysimmunitaires et plus généralement la médecine féline.